Pour avoir la meilleure visibilité possible, il est indispensable d’avoir une méthodologie optimisée pour le référencement naturel. Mais comment faire pour rédiger le meilleur contenu pour Google et les autres moteurs de recherche avec WordPress  ?

Avec SEOKEY, on vous a justement préparé un guide et une conférence complète sur ce sujet. Et en cadeau, on vous offre LA checklist à garder constamment avec vous !

Comment faire de la rédaction SEO ?

Si l’on devait résumer la meilleure façon de faire de la rédaction orientée SEO, voici les 10 conseils pour écrire vos prochains articles avec le CMS WordPress :

  1. Choisissez le bon mot clé
    • Bien définir sa cible
    • Choisir un mot clé qui a du sens
    • Vérifier que le mot clé est tapé par les internautes et votre cible
  2. Définissez Les intentions de recherche
    • Comprendre les besoins de vos utilisateurs et ce que Google veut
    • S’inspirer de la page de résultats de Google
  3. Regardez l’existant
    • Etes-vous déjà positionné sur ce terme ?
    • Comparez les pages de résultats pour choisir la bonne expression
  4. Rédigez le plan et la structure
    • Écrivez selon votre expertise
    • Hiérarchisez l’information avec les Hn
  5. Rédigez de manière optimale
    • Ajoutez des éléments textuels et enrichis qui feront la différence
    • Rangez correctement vos contenus
    • Ajoutez des liens
  6. Optimisez pour le SEO
    • Les Métas
    • Les auteurs et l’extrait dans WordPress
    • Rajoutez vos mots clés (mais pas top)
    • Regardez la concurrence
  7. Atteignez vos objectifs :
    • Ajoutez des CTA (“Call to Action”)
    • Améliorez l’ergonomie

La checklist PDF de la rédaction SEO

Dans ce guide ultra détaillé, on vous explique tout sur la meilleure façon de rédiger pour le référencement naturel. Pour vous aider à appliquer pas à pas chaque étape, on vous a tout d’abord préparé une checklist complète de tout ce qu’il faut faire. Pour la recevoir, rien de plus simple : abonne-toi juste ici : 👇

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Télécharge la checklist ultime de la rédaction SEO !

Un exemple de rédaction SEO sur WordPress

C’est souvent ce que l’on souhaite avoir lorsque l’on débute : un exemple type de contenu bien rédigé dans une optique de référencement naturel. Mais c’est difficile de donner un exemple qui fonctionne dans tous les cas de figure, dans le sens où chaque marché et chaque thématique est différente. Ce qui marche dans un cas peut ne pas fonctionner dans un autre.

Notre guide vous donne justement toutes les étapes à suivre pour adapter votre rédaction en fonction de vos concurrents et de l’expression ciblée en référencement naturel. Ainsi, si vous cherchez un bon exemple de rédaction SEO, l’article sur lequel vous êtes est idéal !

Maintenant, voyons cela en détails. 👇

Choisir le bon mot clé

C’est la première étape indispensable : pour avoir un contenu pertinent, il faut d’abord cibler le bon mot clé. Si ce dernier est mal choisi, votre publication aura peu ou pas d’impact.

Bien définir sa cible

Commencez tout d’abord par définir vos objectifs et à qui vous allez vous adressez. Est-ce que vous souhaitez :

  • Vendre un produit ?
  • Améliorer votre image de marque ?
  • Augmenter les abonnements à une newsletter ?
  • Etc.

Cela va déterminer si l’expression ciblée est pertinente ou non pour y parvenir, et cela vous aidera dans plusieurs points liés à la réponse au besoin et à votre style d ‘écriture (nous en parlerons un peu plus loin).

Un mot clé qui a du sens

Ensuite, cela peut paraître bête, mais l’expression doit avoir du sens. Imaginez que vous croisiez une personne dans la rue et que vous la lui lisez à haute voix : est-ce qu’elle sera capable de comprendre de quoi cela parle ou non ? Sans le contexte, l’expression ciblé doit pouvoir être comprise par tous.

Par exemple, si vous donnez des cours de zumba pour débutants, l’expression ciblée pourrait être « cours zumba débutant », « cours de zumba pour débutants » ou « zumba débutant », mais en aucun cas « débutant » ou « cours débutant ».

Un mot clé tapé par les internautes

Bien entendu, ce terme doit être suffisamment tapé par les internautes. Si personne ne fait cette recherche, être premier ne vous apportera en effet aucun visiteur.

Vous devez donc vérifier ce qu’on appelle le volume de recherche mensuel, c’est-à-dire le nombre de personnes qui tapent cette expression tous les mois. Pour cela, vous pouvez utiliser différents outils :

Exemple de recherche e volume de recherche
Dans cet exemple, seulement 50 recherches seraient effectuées chaque mois sur cette expression

Plus le chiffre est élevé, mieux c’est. Attention cependant à plusieurs choses :

  • Les outils ne seront jamais 100% fiables. Il arrive parfois que certains indiquent un très faible volume de recherche, alors qu’en réalité en étant premier cela attire un plus grand nombre d’internautes que l’estimation initiale ;
  • Parfois un très faible volume de recherche peut être intéressant, notamment quand on est sur un marché de niche, ou que le chiffre d’affaires généré par une vente est important ;
  • Ce chiffre est une moyenne sur 12 mois : à certains moments, il y aura donc certains mois plus ou moins de recherches ;
  • Testez aussi des variantes. Par exemple l’expression « formation Nantes SEO » aurait un volume de recherche à zéro, alors que la variante « formation seo Nantes » en ferait 50.

Un mot clé tapé par vos prospects

Enfin, dernière chose importante : il faut que l’expression soit tapée par votre cible. Il est possible que le termes ait un volume de recherche plus ou moins élevés, mais que les personnes concernées ne font pas partie de votre cible. En effet, dans certains secteurs d’activité, chaque type de prospect peut avoir un comportement différent.

Prenons l’exemple de SEOKEY et imaginons une personne utilisant WordPress et voulant être 1er dans Google. En fonction de sa connaissance du CMS, des moteurs de recherche et de leurs fonctionnements respectifs, l’internaute pourrait rechercher :

  • Extension SEO WordPress ;
  • Référencement naturel WordPress ;
  • Améliorer le SEO de WordPress ;
  • Comment être premier dans Google avec WordPress ;
  • Pourquoi ne suis-je pas premier dans Google ?
  • Etc.

Si le sujet vous intéresse, vous pouvez justement lire notre premier guide dédié au choix du mot clé en SEO.

Les intentions de recherche

Cela nous amène justement à la seconde étape indispensable : comprendre l’internaute.

Qu’est-ce que l’’intention de recherche ?

L’intention de recherche, c’est la raison qui pousse un internaute à faire une recherche. En d’autres termes, quel est son besoin ?

  • Acheter un produit ;
  • Obtenir les horaires d’ouverture d’une boutique ;
  • Contacter une entreprise ;
  • Savoir réparer un objet ;
  • Comparer plusieurs produits ;
  • Se divertir ;
  • Etc.

Avant d’entamer votre travail de rédaction, il est important de comprendre cette intention de recherche : quand l’internaute tape cette expression, que recherche-t-il ? D’ailleurs, il n’a pas forcément un seul besoin, il peut en avoir plusieurs en même temps. De même, chaque internaute effectuant cette recherche peut avoir une problématique différente.

Avant de rédiger un contenu optimisé pour le SEO, il faut donc impérativement lister tous ces besoins principaux et secondaires potentiels.

Imaginons que je souhaite acheter une tondeuse à gazon, voici les besoins potentiels qui pourraient m’intéresser (liste non exhaustive) :

  • Comment choisir sa tondeuse ?
  • Cette tondeuse est-elle adaptée à un terrain en pente ?
  • Comment se déroule l’entretien ?
  • Le SAV et les réparations sont-elles faciles ?
  • Dois-je choisir une tondeuse thermique ou électrique ?
  • Quelle puissance est nécessaire pour une surface de pelouse précise ?
  • Quelle est la meilleure marque de tondeuse ?
  • Etc.

A ce sujet, n’hésitez pas à discuter avec vos clients et vos prospects, ainsi qu’avec vos proches, ou encore dans votre entreprise avec d’éventuels techniciens, commerciaux et collègues. C’est une source d’information vraiment utile pour comprendre les besoins de vos clients et prospects. D’ailleurs, nous en parlions dans notre précédent guide dédié à l’intention de recherche.

L’intention de recherche de Google

Ensuite, il faut refaire le même travail du côté des moteurs de recherche. Posez-vous donc la question suivante : « qu’est-ce que Google veut ? ».

Parfois, cela va rejoindre exactement les intentions et besoins que vous aviez identifié pour vos utilisateurs. Parfois, Google affichera d’autres types de contenus et de solutions. Pour comprendre ce que le moteur de recherche désire, vous pouvez donc suivre ces étapes :

Regardez la page de résultats en navigation privée

C’est l’étape la plus simple : effectuez-vous-même la recherche pour regarder quels types de contenus s’affichent. En d’autres termes, quelles sont les solutions mises en avant par Google ?

Parfois, les moteurs de recherche vont afficher principalement :

  • Des fiches produit ;
  • Des comparatifs et tests ;
  • Des tutoriels ;
  • Des définitions ;
  • Des actualités ;
  • Des listings de produits ;
  • Etc.

Si une dominante ressort, cela veut dire qu’il faudra sans doute axer votre contenu de la même façon.

Regardez les résultats enrichis

Observez ensuite si cette recherche fait ressortir des contenus « enrichis », par exemple des vidéos, des images, une carte, des avis clients ou encore des recettes de cuisine.

Si tel est le cas, cela veut dire que vous devrez ajouter ce type de contenu lors de votre rédaction. Cela fait partie du besoin identifié par Google.

Regardez les suggestions de recherche

Google affiche ensuite à plusieurs endroits des suggestions de recherche. Cela vous aidera à affiner le choix de votre mot clé, à trouver de nouvelles idées pour compléter votre publication, ou encore pour découvrir des sujets pour vos prochains articles. Vous devez ainsi regardez les suggestions de Google avant de commencer à rédiger ! Il y a deux méthodes simples pour cela :

L’autocomplétion : Google vous affiche les autres expressions tapées par les internautes en se basant sur les mots clés que vous venez de taper

Les suggestions de recherche de Google
Ces suggestions peuvent me permettre d’améliorer mon contenu

Ensuite, regardez les autres questions que les internautes se posent (les “PAA : People Also Ask“) : Google affiche ici les autres questions formulées par les internautes par rapport à votre sujet.

Les questions posées par les internautes dans Google : les PAA
Ces autres questions vont aussi me permettre d’améliorer mon travail de rédaction

Regardez les filtres de recherche

Pensez aussi à regarder impérativement les filtres de recherche, c’est-à-dire les différents boutons situés juste sous votre recherche. En effet, les moteurs de recherche peuvent vous donner d’excellentes idées sur les grandes thématiques ou les typologies de solutions que les internautes recherchent (PDF, actualités, exemple, etc.) :

Les filtres de recherche de Google
Dans cet exemple, cela donnera des idées au rédacteurs grâce aux filtres affichés

Regardez la taille du contenu

Enfin, dernier point, regardez aussi la longueur des contenus dans la page de résultats. Parfois, vous verrez que toutes les publications sont relativement courtes (500 à 600 mots), parfois elles seront bien plus longues (2000 à 3000 mots). Cela peut vous donner une bonne idée de la longueur idéale à atteindre sur l’expression ciblée.

Attention cependant : en règle générale, avoir un minimum de longueur (200 à 300 mots) est toujours une bonne pratique lors d’une rédaction d’un texte, car cela vous assure de répondre au besoin de l’utilisateur. De même, si vous trouvez pertinent d’écrire plus, cela ne doit pas être un frein.

La force de SEOKEY !

Nous auditons vos contenus pour vérifier que leur longueur vous permette de répondre au besoin de l’utilisateur

Regardez l’existant

A ce stade, nous n’avons toujours pas commencé à rédiger. Il faut en effet regarder d’autres éléments en amont :

Suis-je déjà positionné sur ce terme ?

Cela peut paraître idiot, mais il est important de savoir si notre site Internet est déjà positionné ou non sur ce terme. Pour cela, la Search Console de Google (outil gratuit) est un excellent moyen de le vérifier. Pour cela, allez dans le menu « Performances », cliquez sur « + Nouveau » et sélectionnez « Requête » pour faire une recherche sur l’expression concernée :

Le menu "Performances" de la Search Console de Google
Dans ce menu, vous pourrez vérifier si vous êtes déjà visible ou non sur votre expression

Si votre site ne se positionne pas sur cette expression (et sur ses variantes), vous pouvez commencer à rédiger. Par contre, si un autre contenu de votre propre site est déjà positionné sur ce terme, il faut vous demander s’il ne faudrait pas plutôt optimiser le contenu existant, ou à l’inverse créer votre nouveau contenu et profiter de l’ancien pour ajouter des liens internes pour lui donner plus de poids (nous en parlerons plus tard).

La force de SEOKEY !

Aevc SEOKEY PRO, on vous indique justement quand vous êtes déjà positionné sur un mot clé pour éviter de cibler deux fois la même expression

Comparez les “SERP”

Parfois, vous allez hésiter entre plusieurs expressions à cibler. Dans d’autres cas, une publication de votre propre site se positionne peut-être sur une variante ou une expression proche. Vous risquez alors de vous poser une question simple : dois-je rédiger un nouveau contenu (pour me positionner sur de nouvelles expression) ou dois-je utiliser le contenu existant ?

Google peut en effet afficher des contenus complètement différents entre deux expressions pourtant proches. A l’inverse, il peut aussi afficher des résultats identiques ou très similaires. Il faut donc analyser la “SERP” (c’est à dire la page de résultat de Google). Vous pouvez le faire manuellement, ou automatiquement avec des outils comme Thot SEO.

Interface de Thot SEO pour comparer deux pages de résultats
Dans ce exemple, les pages “tondeuses thermiques” et “tondeuse essence” semblent suffisamment différentes pour créer deux contenus

Rédigez le plan et la structure

Nous pouvons enfin commencer à écrire. Dans tous les points qui vont suivre, gardez toujours en tête ce que nous avons vu juste avant : les intentions de recherche des utilisateurs et ce que Google affiche sur la recherche.

Les types de contenus qui performent en SEO

Il faut d’abord avoir conscience qu’il faut rédiger le bon type de contenu. Comme indiqué juste avant, si Google n’affiche que des comparatifs, c’est bien cela vous devrez écrire. Mais dans certains cas de figure, les résultats ne sont pas tranchés. Nous avons alors plus de libertés dans notre rédaction SEO. Il faut savoir que certains types de contenus ont de meilleures performances (soit du point de vue du référencement naturel, soit du point de vue des conversions). En voici une courte liste pour vous inspirer :

  • Les tutoriel et guides complets ;
  • Les comparatifs ;
  • L’utilisation de l’humour ;
  • Les « coup de gueule » et opinions tranchées ;
  • Les contenus avec des titres accrocheurs (voir racoleurs) ;
  • Les études de marché ;
  • Etc.

Écrire selon votre expertise

C’est le second conseil à avoir en tête quand on démarre un travail de rédaction. Il faut impérativement que votre expertise soit visible, surtout que c’est bel et bien cette dernière qui va apporter des solutions à l’internaute. Cela veut dire une chose : au début de l’écriture, ne regardez pas en détail les contenus de vos concurrents. L’objectif est de faire ressortir votre savoir-faire et votre marque. Il faut toujours partir de son expertise et du besoin des internautes pour faire la première version de nos publications.

Hiérarchisation de l’information

Ensuite, avant de rédiger l’intégralité du texte, il faut apprendre à hiérarchiser l’information. Cela aidera à faire plusieurs choses :

  • Ne rien oublier ;
  • Aider l’internaute à comprendre le cheminement de votre article ;
  • Faciliter le travail des moteurs de recherche dans l’analyse de votre contenu.

Pour cela, on va rédiger un plan (un peu comme une dissertation), avec des sections et des sous-parties. Dans WordPress, commencez donc par écrire uniquement les différentes titres internes. Voici justement à quoi cela ressemblait pour cet article :

Ebauche du plan d'un article
Le plan de cet article au début de sa rédaction

En HTML (et dans WordPress), on utilisera en réalité balisage Hn qui sert justement à cela. Cela ressemble à cela :

<h1>Mon titre</h1>
    <h2>Première partie</h2>
        <h3>Première sous partie</h3>
        <h3>Seconde sous-partie</h3>
    <h2>Seconde partie</h2>
    Etc.

Pour rappel en SEO, voici les règles de base à suivre pour le balisage Hn :

  • Un seul H1 ;
  • Ne pas sauter de niveau (du H2 au H3) ;
  • Avoir au moins deux titres par niveau si vous l’utilisez (deux H3 minimum si vous avez ajouté des H3).

D’ailleurs, pour visualiser la structure que vous êtes en train de rédiger, WordPress a une fonction native avec Gutenberg. En haut à gauche, cliquez sur les trois traits, puis ensuite sur l’onglet structure :

Structure Hn affichée par Gutenberg dans WordPress
L’éditeur de bloc nous affiche la structure du contenu

Attention cependant, cela ne permet pas de voir les balisages ajoutés par votre thème et vos autres extensions. Il faudra donc utiliser une extension navigateur. Par exemple sur Firefox, dans l’extension Web Developer, cliquez sur « Information > View Document Outline »

Balisage Hn vu par l'extension navigateur Web Developer
Les extensions navigateur sont souvent plus précises pour visualiser le balisage Hn

La force de SEOKEY !

Lors de l’audit, SEOKEY vous fait justement des recommandations sur le plan de votre document, notamment sur l’utilisation de vos H1 et H2

De même, ayez en tête qu’en règle générale, on va aller du plus important au moins important (de ce qui intéressant pour le plus grand nombre d’internautes à ce qui l’est le moins). Par exemple, le détail technique d’un produit est souvent secondaire par rapport à sa présentation générale.

Attention, ce n’est pas toujours faisable. Par exemple dans un tutoriel, il peut parfois être difficile regrouper tous les conseils les plus importants au début sous peine de perdre l’internaute dans une méthode à appliquer pas à pas.

La rédaction en elle-même

Le style

Que vous utilisiez un ton formel ou décontracté, le style d’écriture importe peu en SEO. Par contre, cela va impacter votre image de marque et vos conversions. Adoptez donc un style adapté à votre cible (celle que nous avons défini au tout début de ce guide).

De même, la lisibilité ou l’orthographe n’influent absolument pas sur le positionnement. Mais là encore, c’est important pour vos lecteurs dont faites attention à ce point-là.

Les éléments textuels qui font la différence

Certains types de textes peuvent par contre avoir une incidence importante sur le référencement naturel, notamment sur la « Position 0 » (quand Google donne immédiatement une réponse) ou encore dans Google Discover. N’hésitez donc pas à utiliser les éléments suivants :

  • Une question (en H2) suivie d’une réponse ;
  • Des chiffres ;
  • Des listes (listes à puces ou listes numérotées) ;
  • Des tableaux.

Les éléments enrichis

Dans le même principe, certains éléments enrichis peuvent avoir un fort impact. N’hésitez pas à les utiliser. D’ailleurs, pour rappel, certains devraient déjà être dans votre liste suite à l’analyse de la page de résultats de Google. On peut notamment citer :

  • Des images :
    • Qui apportent une plus-value au texte ;
    • Avec une taille d’origine suffisamment grande de 1200 pixel de large pour faciliter la visibilité dans Google Discover ;
    • Avec un texte alternatif correctement rempli.
  • Des vidéos (hébergées sur YouTube pour une meilleure indexation) ;
  • Des infographies ;
  • Du balisage schema.org si cela est pertinent.

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Notre extension SEO ajoute automatiquement tous les balisages Schema.org de base (Organisation, auteur, chemin de navigation, etc.). L’extension vous donne aussi accès à un éditeur de texte alternatif simple et pratique à utiliser.

Rangez vos contenus

Pour faciliter le travail des moteurs de recherche lors du crawl et de l’indexation, et pour aider vos visiteurs à s’y retrouver, il est impératif de ranger correctement votre contenu fraichement écrit.

La structure principale dans le fil d’Ariane

Pour cela, la clé est de ranger correctement les choses. Dans WordPress, on utilisera les taxonomies. Par défaut il y en a deux : les catégories et les étiquettes. Pour bien les utilisez, suivez ces conseils :

  • Vous devrez ranger votre contenu dans une SEULE catégorie. Si jamais vous hésitez entre plusieurs (de même niveau), c’est souvent signe qu’elles ne sont pas correctement définies ;
  • Dans une même taxonomie (par exemple les catégories), ne mélangez jamais des méthodes de classification différentes. Par exemple, on ne doit pas avoir une catégorie « Paris » à côté d’une catégorie « Chocolat », ce sont deux façons complètement différentes de classer des textes ;
  • Dans l’administration de WordPress, pensez bien à remplir la description de chaque catégorie (pour avoir du contenu unique dans ces dernières) ;
  • Choisissez toujours la catégorie la plus profonde. Par exemple, si vous avez une section « Référencement > Référencement WordPress > Rédaction SEO WordPress », il faudra bien sélectionner uniquement la dernière.

Tout cela permettra de créer une structure cohérente et optimisée, tout en nous assurant que le fil d’Ariane reprenne correctement la bonne catégorisation.

Capture d'écran d'un résultat Google avec affichage du fil d'Ariane
Google utilise le fil d’Ariane pour savoir où sont rangés vos contenus

Pour la taxonomie des étiquettes, ignorez-la car elles font plus de mal que de bien.

La force de SEOKEY !

L’audit SEO de SEOKEY vous alerte si vos catégories n’ont pas de description. De plus, si vous avez retiré le « /category/ » de vos catégories, SEOKEY vous alerte si cela déclenche un conflit d’URL.

Une navigation transversale ?

Sachez que l’on utilisera une seconde taxonomie pour ajouter une thématisation secondaire dans certains cas, pour justement éviter l’exemple donnée précédemment des classifications « Paris » et de « Chocolat ». Si c’est pertinent dans votre cas, vous pourriez donc être amené à ajouter une nouvelle taxonomie.

Prenons un exemple concret ici avec le blog “Les Petites Berniques” parlant des activités à faire dans et autour de la ville de Saint Nazaire (restaurants, boutiques, etc.). Elles ont créé une seconde taxonomie par ville pour permettre aux internautes de pouvoir trouver des idées de sortie dans la ville de leur choix.

Exemple de navigation secondaire par ville
Dans ce site, les habitants de Guérande peuvent retrouver facilement les contenus qui concernent leur ville

Maillage Interne (et externe)

Ensuite, il faut donner du poids aux contenus les plus pertinents. Pour cela, il faut ajouter des liens vers ces derniers. Google et les autres moteurs de recherche considère en effet qu’un lien donne de la popularité et de la crédibilité. Il faudra donc ajouter des liens à l’intérieur de votre contenu vers d’autres publications pertinentes. Par exemple sur cet article, nous faisons des liens vers des conseils SEO proches de la thématique abordée, et inversement.

Ensuite, il faudra aussi compléter plus tard ce travail par la création de liens depuis d’autres sites vers cet écrit : cela lui donnera une bien meilleure crédibilité aux yeux des différents moteurs de recherche (ce qu’on appelle tout simplement le netlinking).

Optimiser pour le SEO

Il est enfin temps d’optimiser votre rédaction dans une optique de référencement naturel. A cette étape, la première version de contenu aura été entièrement rédigée et répondre aux besoins des internautes.

Les Métas

En premier lieu, il faudra optimiser les différents métas de base en SEO. Pour certaines, Google les réécrit très souvent. Cela n’empêche pas qu’elles sont importantes pour obtenir une meilleure visibilité.

Sans rentrer trop loin dans le détail, il faudra :

  • Écrire proprement l’URL pour que l’internaute et le moteur de recherche comprenne la thématique principale du contenu : l’URL de votre publication doit être compréhensible par toutes et tous ;
  • Écrire une balise Title optimisée, c’est-à-dire :
    • Qui contient votre mot clé ;
    • Qui n’est ni trop longue ni trop courte ;
    • Qui donne envie de lire ;
    • Qui permet de comprendre de quoi va parler le contenu.
  • Ecrire une balise Méta Description optimisée (attention, elle n’améliore pas le positionnement mais peut améliorer le taux de clic dans Google) :
    • Ni trop longue ni trop courte ;
    • Qui donne envie de lire le contenu.

La force de SEOKEY !

Notre audit SEO va vous avertir sur différentes problématiques liées à vos métas : absence du mot clé, longueur, etc.

Les auteurs

Pensez aussi à bien sélectionner un auteur complet, c’est à dire un auteur pour lequel vous avez ajouté une photo (ou un Gravatar), ainsi qu’une vraie description de l’auteur. Cela permet de rendre plus crédible la publication, que ce soit pour les moteurs de recherche ou pour les internautes qui liront le contenu. La plupart des internautes ne vous connaissant pas, c’est un très bon moyen de les rassurer sur la qualité du texte et surtout sur votre expertise et votre capacité à répondre au besoin.

La force de SEOKEY !

Toujours dans l’audit, vous serez averti en cas de profil auteur incomplet.

L’extrait

Dans WordPress, pensez également à remplir l’extrait, c’est-à-dire un court résumé de votre travail de rédaction SEO. Ce texte va en effet être ajouté automatiquement par le CMS dans les pages de listing, par exemple dans vos catégories, dans vos pages “auteur” ou encore sur l’accueil du site. Par défaut, cet extrait est automatiquement généré avec le début de votre contenu, mais WordPress le tronque au bout de 55 mots. C’est donc un contenu dupliqué, et souvent sans aucun sens car les phrases sont souvent coupées en deux.

Idéalement, il faut donc que ce texte soit unique et qu’il résumé votre texte. Si vous n’avez pas le temps, vous pouvez aussi faire un simple copier/coller de votre balise Méta Description.

Capture d'écran du champs "Extrait" dans WordPress
Le bloc extrait à gauche dans l’interface de rédactgion de WordPress

Enrichir la sémantique

Désormais, vous pouvez venir enrichir votre contenu. Cela veut dire ajouter votre expression cible (et ses variantes) à plusieurs endroits clés de votre page, notamment dans le H1 (le titre du contenu), dans le premier paragraphe ou encore dans vos H2 et H3. Rajoutez aussi les termes couramment utilisé dans votre sujet, les synonymes et termes proches. Pour cela, n’hésitez pas à vous inspirer de votre analyse de la page de résultats de Google, par exemple les « Autres questions » des Internautes.

Attention cependant, n’ajouter vos expressions et vos variantes qu’à une seule condition : cela doit rester naturel ! Si jamais vous trouvez que cela alourdit le texte ou que cela devient répétitif, supprimez vos ajouts.

La force de SEOKEY !

L’audit SEO de SEOKEY vous indique quand l’expression principale n’est pas présente dans certains endroits clés.

Regarder la concurrence

C’est la dernière phase de rédaction au sens pur du terme : il est temps de lire en détail les contenus de la concurrence pour venir étoffer le vôtre. Ils auront parfois de bonnes idées que vous pouvez intégrer et reformuler dans votre propre texte.

Et si cela vient aussi tardivement dans notre guide, c’est que cela vous permet de ne pas être trop proche de vos concurrents, et de garder en tête votre objectif principal : répondre aux besoins des internautes à l’aide de votre expertise.

Convertir

Votre travail de rédaction est désormais terminé, et votre contenu est optimisé pour le SEO. Malheureusement, il ne sert encore à rien. Il faut maintenant que ce dernier vous permette d’atteindre vos objectifs : vendre, augmenter les abonnements, améliorer la notoriété, etc.

Ajoutez des CTA

Pour cela, la méthode la plus efficace est l’ajout de CTA (« Call to Action »), c’est dire des éléments qui vont inciter à agir. Cela peut prendre de multiples formes :

  • Une simple phrase qui donne envie de faire une action ;
  • Un formulaire ;
  • Un bouton ;
  • Une newsletter ;
  • Etc.

Il faut donner envie à l’internaute d’aller plus loin avec vous. Et là encore, nous donnerons le même conseil que pour l’optimisation sémantique :

  • Ajouter plutôt vos CTA en début de contenu (mais en avoir partout est souvent une bonne chose) ;
  • Cela doit paraître naturel et pas trop répétitif (l’internaute doit y trouver son compte).
Capture d'écran du Call to Action de cet article de SEOKEY
Un exemple de Call to Action pour un contenu qui aide à convertir

Ergonomie et UX

Bien entendu, l’accessibilité et l’ergonomie de votre page aura de l’importance, non pas sur le SEO en lui-même, mais là encore sur les conversions. Il faut donc vérifier les points suivants :

  • La rédaction est bien conçue (lisibilité, ton, pédagogie, etc.) ;
  • Un thème WordPress bien conçu pour afficher votre texte : il ne doit pas être trop chargé visuellement, et il doit permettre de lire et de naviguer facilement sur le site ;
  • Une structure globale bien pensée qui permet à l’internaute et aux moteurs de recherche de trouver facilement le bon contenu au bon endroit.

Les outils de la rédaction ?

Bien entendu, on pourrait se poser la question des outils d’aide à la rédaction, que ce soit des extensions WordPress spécialisées, des outils en ligne dédiés pour le SEO, l’intelligence artificielle comme ChatGPT ou d’autres sur l’orthographe.

En soi, ils peuvent tous être utiles et pratiques, et font également souvent gagner beaucoup du temps. Mais attention à ne pas trop vous y fier, ni à commencer à rédiger avec eux dès le début : c’est votre expertise et la compréhension de votre cible qui vous aidera à faire le meilleur contenu en SEO.

Comment avoir la meilleure rédaction SEO ?

C’est la question à un million de dollars : Comment faire pour avoir le meilleur texte en SEO ?

Malgré tous les conseils donnés ici par SEOKEY, cela peut être insuffisant. Parfois, le meilleur contenu n’est pas le plus visible dans les moteurs de recherche, car d’autres éléments internes et externes vont avoir de l’impact :

  • La popularité du site ;
  • Des bugs ou des éléments non optimisés du point de vue technique ;
  • Les autres contenus du site ;
  • Des concurrents plus puissants ;
  • Etc.

Ayez donc toujours en tête qu’il faut agir sur ces autres points, et que le référencement naturel prendra du temps.

La checklist à ne pas rater !

Pour vous aider parmi tous les conseils donnés dans cet article sur la rédaction SEO, on vous a préparé une checklist pour ne rien oublier. Si vous ne l’avez pas encore fait, cela se passe juste ici pour la télécharger :

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Télécharge la checklist ultime de la rédaction SEO !

Notre conférence sur la rédaction SEO et WordPress

Si le sujet vous intéresse et que vous voulez aller encore plus loin, nous avions justement abordé le mois dernier dans notre webinaire :

Daniel Roch

Daniel Roch

CEO de SeoMix & SEOKEY, consultant SEO & développeur WordPress.

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